Chefs d'oeuvres et petits trésors

Dobby est de retour !  

  Dobby...

C'est sûr ! ça fait plaisir...
Ton confinement à toi, il a duré plusieurs années ! 
On te croyait mort !
Où t'étais ? En fugue avec une minette ?  
Comment va ta chienne ? Hope demande des nouvelles...
Racontes nous tout...

Hello Dobby,

Cela fait plaisir de te lire. Bien d'accord avec toi quant aux westerns.
 
'd be nice to see you soon!
So long,
Phil

Pour compléter le cycle des western d'Anthony Mann, celui qui a mon avis est le meilleur  :

The Man from Laramie 1955 ( L'homme de la Plaine)

5e et dernier opus de la collaboration avec James Stewart

Tourné dans les paysages désertiques du Nouveau Mexique en 28 jours, c'est une oeuvre qui n'a pas vieilli contrairement à La porte du diable ou l'Homme de l'ouest.
Intrigue bien ficelée et suspens à la clé.
On y retrouve le tandem Stewart et Kennedy, où ce dernier est brillant dans le rôle du traître.
On remarquera que contrairement à l'habitude de l'époque les accessoiristes ont soigné le détail, les Winchester sont des 1873 et on y voit même un magnifique Henry 1860. Par contre la veste de Stewart est clairement un produit de fifties...
A propos de détail, dans les 5 western qu'il a tourné avec Mann, Stewart porte toujours le même chapeau..
On y retrouve également Jack Elam dans un petit rôle de type bizarre..



Sur l'image de droite on remarquera le sévère mors à branches du pauvre cheval de Kennedy, sur lequel il tire sans ménagement, alors que ce genre de "frein à main"  est réservé au cavaliers à la main légère

Ci-dessous  Aline Mac Mahon avec son Henry Rifle.... vide à voir la positiin du poussoir de magasin

WAOWWWW !!!!
Un très grand merci pour vos réponses si chaleureuses !!!

D'autant plus appréciées que pour certains, j'étais un pue devenu l'emm... bêteur N°1 !!!

Je ne sais pas trop de quoi l'avenir sera fait, si je resterai dans un sud parfois peu hospitalier pour ceux qui veulent y voir autre chose qu'un séjour de vacances... ou un lieu de pouvoir !!!!
Wait and see !
Et un retour sur un range, même en spectateur ( habillé convenablement quand même) est une forte envie ...
En attendant, portez vous toutes et tous bien, prenez soin de vos santés, 
A bientôt

Dob

RE ....
Un  autre bravo pour notre cinéphile !

Effectivement , il ne doit pas y avoir grand-chose dans le magasin de la Henry !!!

Vu la date du tournage, (1955), est-il possible qu'il s'agisse déjà d'une réplique italienne ???
Ou un fabricant US aurait-il réalisé des répliques ?
Ou se sont-ils payé le luxe hollywoodien de tourner avec une origine ??? 

Une interrogation aussi sur cet anneau lumineux (on voit le ciel à travers), qui semble attaché ( ???) au flanc gauche du magasin, juste en avant de la main gauche d'Aline.

Dans "True Grit" (Bon, d'accord, mais quand même le film est plutôt bien fichu ) apparait une Henry équipée ( c'est plus conforme à l'usage de l'époque) d'une "bretelle" de fortune qui enserre l'ensemble canon-magasin...

Apparemment le document est une photo de tournage. (Ce qui pourrait à la rigueur expliquer le magasin vide) 
Que le photographe de plateau (et surtout le responsable communication du film) aient pu laisser passer ce genre de parasite optique m'interpelle...
 Pete, tu aurais une réponse ???
Un grand merci!

Dob

Hello Dobby
Il ne s'agit pas d'une photo, mais d'un "print screen" du film retravaillé par mes soins...

Cet anneau m'a aussi intrigué.....

en 1955 il n'y avait aucun fabriquant italien de répliques.....Aldo Uberti a produit son premier revolver, le 1851 Navy en 1960 en environ 4000 exemplaires pour un contrant américain.
Car parmi les festivités prévues pour la commémoration du centenaire de la guerre civile, il y avait la création de groupes de reconstitution, qui manquaient d'armes devenues de collection et hors de prix pour un tel usage.
D'autres demandes arrivèrent parmi lesquels les réalisateurs de films western spaghetti...
Suivirent le Remington 1858, le SAA 1873 et en 1965 la première 1866  en 22 LR....suivie peu après de celle en 44 WCF

On peut raisonnablement affirmer que le rifle du Film est un authentique, tout comme les rifles et carabines 1873.....  Ces pièces ont sûrement été fournies par une entreprise spécialisée dans la location d'armes pour les studios de Hollywood.
Il y avait des entreprises spécialisées pour tout : location de chevaux dressés, voitures, costumes, meubles etc...
Le prix de location dépendait de la valeur donc de la rareté de la pièce.
On voit beaucoup de 1892 dans les western de l'époque, car c'est une des Winchester produites en grande quantité et donc peu chère à l'achat.
Les western récents utilisent des répliques italiennes peu chères en occasion aux States.

A noter que Pietta débuta la production de répliques en 1967 suite à un contrat français de 10'000 revolvers navy 1851
Affaire qui sombra après la livraison de 400 pièces suite à une modification de la loi en France ( déjà)
Mais le train repartit avec un repreneur et peu après avec des contrats américains...


La disponibilité limitée d'armes pour les tournages se remarque parfois en Europe , en raison de dispositions législatives absurdes.

J'ai visionné récemment un beau film espagnol , "Las 12 rosas " qui est l'histoire tragique de 12 jeunes filles fusillées à la fin de la guerre civile.
Au début du film il y a une scène d'attaque de train. J'ai remarqué que l'accessoiriste a dû utiliser ce qu'il trouvait, car on constate que les fusils des soldats sont hétéroclites... j'y ai même reconnu des Schmidt Rubin 1889...

Mon intérêt pour les western au-delà de l'intrigue va aussi aux détails...  costumes, chevaux, arrachements et bien sûr armes...

Pete...

Tes connaissances dans bien des domaines me "scotchent" la plupart du temps, mais tu viens de commettre une erreur… de nombre !
Le titre du film espagnol est "La 13 rosas".
pour ta liste de pépites !

So long

Autant pour moi Pat.....

Un lapsus dont je suis coutumier....arghhhhh

Donc tu connais ce beau film retraçant l'histoire de ces pauvres filles.....

Je me souviens de mon premier voyage en Espagne en 1965....  mes parents m'avaient sermoné avant la frontière à propos de ce qu'il ne fallait pas dire de Franco....

Les jeunes aujourd'hui n'imaginent pas ce qu'était la dictature franquiste et son recours  au garrot...

La dernière exécution par le garrot eut lieu en mars 1974 à Barcelone, un type de 25 ans.... et Franco mourut l'année suivante en novembre.....

Howdy, chaps.

Waoww, Pete !!!!`

Il y a quelques années, nous aurions pu ensemble faire partie de cette petite minorité de "fouille-m..." qui reconnaissent pour devise une citation de Stanley Kubrick, en substance  :
" L'exactitude et la rigueur du détail font la crédibilité de l'ensemble".
Dans le cinéma de ce grand Monsieur, tout concrétise cette position : 
Juste un exemple dans notre domaine : Celui du chargement des pistolets dans le duel final de Barry Lindon :
Un vrai documentaire sur le calepinage, véritablement transcendé par la lumière et le cadrage, sans oublier la rigueur absolue du montage...
Bref,  

Je me doutais un peu qu'il s'agissait d'un "picto" ou d'un screen shot, mais la qualité de ton image est telle que le doute était permis par rapport à une photo de plateau, y compris la pose de la comédienne.

Donc pour "l'anneau ... " le doute subsiste.
Je vais essayer de trouver le plan que tu as capturé, peut-être dans la continuité ou dans un plan avant ou après dans cette séquence trouverions nous un indice ??? Tu y a sûrement déjà pensé...

Un grand coup de Stetson pour ta connaissance historique des répliques italiennes : bien sûr, vu la date du tournage, j'aurais du ne pas poser cette question idiote, d'autant que je connais un peu les rouages de la cinématographie, et les cohortes de fournisseurs divers pour les accessoiristes.
Entre parenthèses, cette profession - en fait d'immenses "brocantes" de tous objets, de toutes époques de toutes origines- est en train de disparaitre, les accessoiristes allant directement "faire leurs courses" sur le Bon Coin !!!  
Pas pour les armes ( quoi que "Natura Bay...") ni pour les animaux heureusement !!!

Si on creuse un tantinet, il faudra des disques durs de trois cent millions de tera au moins pour stocker toutes les "tolérances" comme celles que tu cites pour "Las 13 rosas". 
Au passage, c'est l'anarchiste Puig Antich qui fut la dernière victime garotée par la dictature franquiste, James Bond en a fait ultérieurement un usage plus léger avec Madame Adajani....
Je partage ton avis pour dire que ce fut pour l'Espagne une époque sombre. 

Pour terminer sur le cinéma, juste une petite dernière , pour la route, avant de te renouveler mon admiration pour ta compétence: 

René Clément ne passe pas pour un plaisantin.
Quand il réalise la "Bataille du Rail" il tourne avec du matériel réel d'époque, en décors naturels, pas un rivet ne manque aux grenadières de Mauser, pas une trace de soudure aux Stens...
Par contre, quand il fait "Paris brûle-t-il", il met en scène un supposé Panther qui est en fait un Shafee grossièrement maquillé...
Un de mes vieux amis tireurs ( R.I.P. mon ADc ...) ancien chef de char AMX, avait failli en avaler son képi !!!

Allez, les cowboys cinéphiles, 
So long 
et Pete, encore bravo et merci de la qualité de ces échanges !!!!

Dob

Holà hombres !

Après avoir visionné quelques westerns décevants, voici une oeuvre intéressante.

The Tall T  1957  ( L'homme de l'Arizona  ou aussi l'heure de la vengeance ....on se demande pourquoi ?) de Budd Boetticher

Titre étrange, car changé en cours de tournage , le premier étant " The Captives " plus logique à mon avis.... en fait le titre fait référence au ranch que visite Brennan ....

On y retrouve Randoplh Scott  et un méchant  parfois surprenant  mais bien dans le rôle : Richard Boone
Également un des piliers des fims Western , Arthur Hunnicutt, qui joue un vieux ronchon ... mais qui  est en réalité 12 ans plus jeune que Scott.
Et toujours ce souci de coller au réel, la dilligence tirée par des Mules comme toutes celles du Sud-Ouest.
Un rifle Henry , et un coach gun à chiens extérieurs.
Le scénario tient la route , mais on se doute un peu de ce qui va suivre......

Une scène intéressante est la tentative de Brennan de chevaucher le taureau....
En fait ces bêtes furent importées vers 1880 depuis l'Inde et croisées avec des races indigènes.


  Arthur  Hunnicutt


Les décors extérieurs que l'on retrouve dans plusieurs Westerns de l'époque sont ceux de la Owens Valley , et les fameux rochers  sont dans les Alabama Hills.
Ces sites se trouvent à 300 km au nord e Los Angeles  entre la Grande forêt des Sequoias et la Sierra Madre  où se situe également la Death Valley.....
la localité de Lone Pine était la Mecque des tournages en extérieur  pour les western

Owens Valley


Alabama Hills

Arf, des souvenirs !


Je me suis déjà arrêté à "Lone Pine", dans un motel où logeaient souvent les acteurs et autres membres des équipes de tournages "western".

J'ai dormi...dans la chambre attenante à celle qu'occupait habituellement (parait-il) John Wayne ! (je ne l'ai su que le lendemain ! )


J'ai peut-être 2 ou 3 photos de l'endroit, il me semble   (J'en prends tellement maintenant, avec les "numériques", que je ne sais plus parfois...)


c'est sur la route en quittant le "Death Valley" pour aller en direction de "Sequoia Park", si je me souviens bien  

Yesss....
Ces fantastiques paysages qui permettaient les phénoménaux plans larges, le tout sur un écran de 15 mètres de base !!!
Les hollywodiens n'avaient pas besoin de monter le plan serré (close up) jusqu'aux yeux, il écrivaient leurs images pour la salle, sans se préoccuper de ce que diraient les co-producteurs liés aux chaines de TV...
Le bon temps !

Ca a certes donné certaines lettres de noblesse aux spaghetti, mais ...

Pour Jepp, toutes mes amitiés et une question : Où donc diable n'est tu pas allé ? Ce serait plus vite dit que de lister tes étapes sur cette sacrée planète !!!

Encore bravo et merci à Pete 
So long !

Dob

bonsoir Dobby,


Je suis effectivement allé "dans beaucoup d'endroits" (grâce à mon métier et à mon goût pour les voyages, l'un n'étant pas étranger à l'autre, d'ailleurs, outre le plaisir inégalé que j'y ai pris (dans mon métier), d'autant que j'ai eu la chance de réaliser mon "rêve de gosse": faire le boulot que je voulais faire depuis "tout petit").

Mais tu le sais bien, la Terre est vaste, le Monde est vaste, si vaste que je suis bien loin d'avoir tout vu...et dans un sens c'est tant mieux: j'ai toujours des rêves de lieux que j'aimerai bien découvrir, et je me dis que, un jour, "pourquoi pas " ?

Le problème étant que j'aimerai "aussi" retourner dans pas mal d'endroits où je suis allé !

Ce que j'ai également fait souvent, mais...j'ai encore et toujours "envie" d'y revenir, me "poser", et regarder autour de moi, et "profiter", m'en mettre plein les yeux et les neurones pour me souvenir.


Mais pour en revenir à "LONE PINE ", c'est encore un "coup de chance" (je n'avais pas prévu initialement de m'y arrêter et d'y passer la nuit), un de ces hasards dont j'ai remarqué que, finalement, ils sont nombreux (ou qu'il l'ont été dans ma vie, en tous cas) : dans la "Death Valley", en partant de LAS VEGAS", j'avais prévu de monter sur le "DANTE pick View", qui surplombe la "DEATH VALLEY", et de redescendre par une "route" (un chemin serait sans doute plus juste) qui redescendait à l'autre extrémité de la Vallée...et qui était fermé pour cause de travaux (goudronnage, semble t'il);

Bref j'ai dû faire 1/2 tours et retourner au début de la route par une piste de terre par laquelle j'étais venue (heureusement, j'avais un 4x4té à ce genre de problème...), et vu le retard pris, je me uis arrêté à PLONE PINE, au lieu d'une autre petite ville, beaucoup plus loin !  (il n'y en pas pas beaucoup dans le coin, d'ailleurs !)     

    bon, j'ai des petits problèmes d'ordi,  suite pour plus tard, désolé !

 JEPP !!!!

Merci Dobby,

J'ai depis hier des problème, apparemment de "surchauffe" de mo écran, qui s'éteint pr moment, se rallume, s'étaient...

J'ai remarqué que je pouvais continuer à taper u texte "à l'aveugle", mais en me relisant, c'est pas terrible terrible !  

J'ai "dépoussiéré" l'écran par les orifice d'aération, derrière celui-ci", mais moyennement efficace ! Et comme c'est un MAC, c'est impossible de "changer" d'écran, vu que c'est un t out   ...


bon, j'arrête, trop pénible de s'en servir ! dépannage programmé, bientôt j'espère !

Bon, je me suis décidé à "emprunter" le portable de mon épouse, dont elle ne se sert plus depuis qu'elle utilise sa "tablette"

Il va falloir que je me réhabitue à un PC, et à un clavier de "portable", mais bon

en attendant de dépanner mon MAC

AAAHHHHH les joies de l'informatique.

Cmme tu dis, j'ai RV lundi mati avec le "spécialiste en ordi",...reste à voir "quand" il pourra me le rendre....

Hi, Jepp et les autres....

ah, les Mac ....

Formidables machines, mais quand ça commence à "merder" ...

J'en suis à mon 5 ème ( le premier monobloc qui ressemblait à un micro-ondes) puis les E-MAc dédiés "éducation" qui équipaient les cellules de montage vidéo, puis un Macbook, et aujourd'hui, un iMac de bureau et le MacBook Air ...

J'en ai toujours été très satisfait, à condition de bien installer dessus des choses propres; Ou alors de passer sous Linux.

Si je peux me permettre, Jepp, tu es Mac, reste chez Mac ...

Mes rencontres avec les autres PC m'ont souvent déçu.

Amitiés à tous !!!!

Oui, c'est quand il nous font "défaut" que l'on se rtedn compte à quel point on en est maintenant tributaire !

J'ai beau "imprimer" un certain nombre de documents, la plupart, pour ne pas dire l'intégralité de mes fichiers et dossiers se trouve "dans l'ordi";

Et même "sauvegardé" (comme c'est mon cas) , si l'écran lâche, et bien impossible d'y accéder !.  


Bon, j'ai récupéré mon ordi plus vite que prévu. Le technicien a pu me le faire "tout de suite"  (c'est l'ami d'un ami, ça aide quelque fois )

Pour l'écran: déclenchement de la "sécurité" suite surchauffe...due à des poussières et autres saloperies qui se sont introduites dans l'ordi, via le système de "ventilation" (parait que c'est assez courant, finalement...), et l'accès n'est pas aisé, vu qu'il faut enlver l'écran...en le décollant du support !

Travail de pro si on ne veut pas abimer quelque chose (et surtout l'écran).

Pour mon autre soucis (mon disque de "démarrage" n'avait plus beaucoup de place de dispo (- des 10% minimum requis...) que je voulais remplacer), il se trouve que des fichiers "importés" se chargeaient "automatiquement" dessus....ce qui n'était pas évident à trouver.

Donc, tout va "bien", j'ai retrouvé mon MAC et mes dossiers


Bonne journée à tous   

Bon les gars c'est sympa mais vous êtes complètement hors sujet du post là.....

Ah bon ?    


 

Bennn...

Tu as juste raison, Pete.

Même si on chipote en disant que les Mac sont la base des cellules de montage virtuel du cinéma, et que donc, il y a un rapport ( ) on est un peu loin

Excuse-nous d'avoir un peu pollué ton travail, c'était le plaisir retrouvé des échanges avec Jepp !!!

On ne parle plus de Mac, promis.

Sauf de Mac Queen, mais ça, c'est ton trip !!!!

Amitiés !!!

Howdy

Après un été plutôt torride qui n'invite pas à la vision de films
Voici une oeuvre peu connue de Delmer Daves sortie en 1959
Comme à son habitude ce réalisateur s'empare d'un sujet particulier, ici la cupidité des prospecteurs d'or.
Ce film dramatique comme tout bon western tourne un peu trop vers la romance à l'eau de rose, mais son intérêt réside
dans les 2 acteurs principaux : Karl Malden magnifique dans son rôle de sale type et Gary Cooper en médecin cynique.
Cooper joue un personnage ténébreux peu expressif et ceci pour une raison inattendue.
Quelques mois auparavent l'acteur avait subi un lifting facial qui n'a pas bien réussi, ce qu explique son visage figé.
Ce sera d'ailleurs son dernier western et il décèdera 2 ans plus tard.



Le chapeau étrange porté par Malden semble être apparu 30 ans plus tard que la date de l'époque du récit indiquée au début, 1873